Les indications sur la carte indiquent ce que j'ai visité.
- En rouge, ce qui concerne les villes
- En vert, ce qui concerne les randonnées
- En bleu, ce qui concerne les activités nautiques
- En violet, ce qui concerne les logements que j'ai utilisés
Préparatifs
Pour ce voyage, je suis parti 1 an pour le travail, je profiterai donc de mes week-ends pour visiter le cœur de l'Europe. Aussi, je ne présenterai pas les activités jour par jour.
Santé : Aucune précaution particulière, la Suisse est bien évidemment un pays sûr qui répond aux mêmes normes que l'Europe, les villes de Suisse sont réputées pour être très sécuritaires.
Transports : La Suisse est un petit pays qui dispose d'un des meilleurs réseau de transports en commun au monde. Trains et bus sont légion, néanmoins je dispose du luxe d'avoir une voiture sur place.
Langues : A Zürich, c'est le suisse allemand qui est parlé, beaucoup de Zürichois rechigneront bien souvent à parler le "vrai" Allemand (aussi appelé Hochdeutsch), l'anglais étant aussi très pratiqué, les Zürichois parleront pour la plupart très facilement dans la langue de Shakespeare.
J'ai quelques notions d'allemand, qui me serviront surtout à l'écrit. Le suisse allemand peut en effet être très différent à l'oral.
Monnaie : Le franc suisse est utilisé, depuis 2015, l'euro et le franc suisse ont une valeur quasi identique. L'euro est accepté partout.
Formalités administratives : Comme dit précédemment, je reste 1 an pour le travail, j'ai donc fait la demande d'un permis de travail. Aucun visa touristique n'est requis sinon. Une carte d’identité suffit pour visiter le pays pour les touristes français.
Guide : Pour ce voyage, je me suis procuré le Lonely Planet sur la Suisse. Mais d'excellents sites internet sur le tourisme en Suisse sont disponibles. J'aimerais n'en citer qu'un seul que j'affectionne tout particulièrement : Grand tour de Suisse.
Santé : Aucune précaution particulière, la Suisse est bien évidemment un pays sûr qui répond aux mêmes normes que l'Europe, les villes de Suisse sont réputées pour être très sécuritaires.
Transports : La Suisse est un petit pays qui dispose d'un des meilleurs réseau de transports en commun au monde. Trains et bus sont légion, néanmoins je dispose du luxe d'avoir une voiture sur place.
Langues : A Zürich, c'est le suisse allemand qui est parlé, beaucoup de Zürichois rechigneront bien souvent à parler le "vrai" Allemand (aussi appelé Hochdeutsch), l'anglais étant aussi très pratiqué, les Zürichois parleront pour la plupart très facilement dans la langue de Shakespeare.
J'ai quelques notions d'allemand, qui me serviront surtout à l'écrit. Le suisse allemand peut en effet être très différent à l'oral.
Monnaie : Le franc suisse est utilisé, depuis 2015, l'euro et le franc suisse ont une valeur quasi identique. L'euro est accepté partout.
Formalités administratives : Comme dit précédemment, je reste 1 an pour le travail, j'ai donc fait la demande d'un permis de travail. Aucun visa touristique n'est requis sinon. Une carte d’identité suffit pour visiter le pays pour les touristes français.
Guide : Pour ce voyage, je me suis procuré le Lonely Planet sur la Suisse. Mais d'excellents sites internet sur le tourisme en Suisse sont disponibles. J'aimerais n'en citer qu'un seul que j'affectionne tout particulièrement : Grand tour de Suisse.
La Suisse, aussi appelée Confédération suisse ou encore Confédération helvétique est située au cœur de l’Europe. Le pays est entouré de la France, de l’Allemagne, de l’Autriche et de l’Italie (Et nous n’oublierons pas la principauté du Liechtenstein). Le pays est constitué de 26 cantons où se répartissent les 4 langues officielles (Allemand, Français, Italien et Romanche par ordre d’importance).
Souvent décrit comme un pays qui s’étire entre le lac Léman, le lac de Konstanz et le lac de Lugano, la Suisse a des visages multiples depuis les moyennes montagnes du Jura aux Hautes Alpes. D’un point de vue touristique la Suisse est surtout connue pour ses paysages montagneux à couper le souffle et aussi pour sa cuisine. Le chocolat (Nestlé est Suisse) et le fromage étant des produits souvent exportés.
Bienvenue dans le pays qui a vu naître Guillaume Tell, Roger Federer et aussi la fameuse Heidi, de l’Ovomaltine, du CERN et de son accélérateur de particules (LHC) qui a démontré l’existence du Boson de Higgs.
Souvent décrit comme un pays qui s’étire entre le lac Léman, le lac de Konstanz et le lac de Lugano, la Suisse a des visages multiples depuis les moyennes montagnes du Jura aux Hautes Alpes. D’un point de vue touristique la Suisse est surtout connue pour ses paysages montagneux à couper le souffle et aussi pour sa cuisine. Le chocolat (Nestlé est Suisse) et le fromage étant des produits souvent exportés.
Bienvenue dans le pays qui a vu naître Guillaume Tell, Roger Federer et aussi la fameuse Heidi, de l’Ovomaltine, du CERN et de son accélérateur de particules (LHC) qui a démontré l’existence du Boson de Higgs.
Zürich et ses alentours
Zürich (se prononce [zurik] en français, [tsurichhh] en allemand et [tsuriR] en suisse allemand) est souvent considérée à tort comme la capitale de la Suisse. La ville qui trouve ses racines à l’époque romaine est la plus grande ville de Suisse et est un des lieux les plus onéreux du Monde pour se loger (Un classement de 2015 de The Economist classe Zürich comme étant la ville la plus chère du Monde). La langue la plus parlée dans la capitale financière est le Suisse Allemand. Dominée par sa montagne, l’Uetliberg, la vieille ville où s’entassent de nombreuses églises est un dédale de petites ruelles qui mènent soit au Limmat (le cours d’eau qui traverse la ville) ou au gigantesque lac de Zürich. C’est ici que je travaillerai pendant un an.
Le Musée National Suisse
Le Musée National Suisse (8 CHF avec ID étudiant) est situé au Nord de la vieille ville de Zürich au sein d’un bâtiment qui tranche un peu avec le style plus classique de la gare centrale située de l’autre côté de la rue. Il est consacré à l’histoire de la Suisse en général. Lors de ma visite une partie était en rénovation et j’ai trouvé la visite un peu chaotique (Je ne sais toutefois pas si c’est lié). En effet, la visite ne suit pas un ordre chronologique comme on pourrait s’attendre d’un musée présentant l’histoire d’un pays. On commence donc au premier étage ave l’histoire religieuse du pays pour finir au 4ème étage avec les vestiges de l’époque romaine. Il y a aussi une partie sur l’évolution du mobilier domestique et une autre consacrée à des expositions temporaires.
Je garderai cependant un avis très positif sur le pavillon dédié à la bataille de Marignan qui a eu un effet retentissant en Suisse (Cf « Le saviez vous »). Une autre partie du musée est consacré à l’histoire contemporaine de la Suisse et en partie sur la position de la Suisse pendant la première et la seconde guerre mondiale. Cette salle présente en autre les échanges commerciaux de la Suisse avec l’Europe en guerre. Le rouge des drapeaux nazis était notamment produit par la puissante industrie chimique Suisse. La salle présente également le déchirement qu’il pouvait exister dans la population avec des Suisses allemands plus en faveur de l’Axe et les Suisses francophones plus en faveur des alliés. Rien que pour cette salle, à mon sens, la visite vaut le détour.
Le saviez-vous?
La bataille de Marignan oppose les Suisses souhaitant défendre Milan aux Français et leurs alliés Vénitiens. La bataille qui dura deux jours vit la défaite des Suisses. La bataille est un événement majeur en Europe pour plusieurs raisons :
En Suisse toutefois, les conséquences sont terribles, les morts sont nombreux et cette bataille est encore présente dans l’inconscient populaire de nos jours. Il en découle notamment la célèbre neutralité Suisse.
La bataille de Marignan oppose les Suisses souhaitant défendre Milan aux Français et leurs alliés Vénitiens. La bataille qui dura deux jours vit la défaite des Suisses. La bataille est un événement majeur en Europe pour plusieurs raisons :
- Elle permet d’assoir l’autorité de François 1er en Europe car jusqu’alors, personne n’avait réussit à défaire les soldats helvétiques et leur redoutable carré d’infanterie.
- Il découle de cette guerre, une alliance entre la France et la Suisse. Ces derniers mettent au service des Français leurs mercenaires.
- De nombreux artistes italiens (dont Léonard de Vinci) se dirigent vers la France, diffusant par la même occasion la Renaissance.
En Suisse toutefois, les conséquences sont terribles, les morts sont nombreux et cette bataille est encore présente dans l’inconscient populaire de nos jours. Il en découle notamment la célèbre neutralité Suisse.
Vielle Ville de Zürich
Zurich est la plus grande ville de la Suisse, elle est une ville cosmopolite où rigueur et travail riment avec goût de la fête.
La ville s’active très tôt le matin, il n’est pas rare de croiser des trains de banlieue bondés avant 7h du matin emmenant les gens habitant en périphérie de Zurich vers leurs lieux de travail.
La ville s’active très tôt le matin, il n’est pas rare de croiser des trains de banlieue bondés avant 7h du matin emmenant les gens habitant en périphérie de Zurich vers leurs lieux de travail.
Le centre-ville dominé par la Grossmünster, emblème de la ville où il est possible de monter moyennant quelques francs, est un dédale de ruelles dans lequel on tombe souvent nez à nez avec une église. Face à la Grossmünster, se trouve la Fraumünster avec ses vitraux de Chagall. Un peu plus loin, l’église Saint Pierre, que je trouve la plus jolie, possède le cadran le plus grand d’Europe (8,7 m).
A proximité de cette dernière se trouve le Lindenhof, une sorte de terrasse surplombant la vieille ville, lieu de convivialité pour la population, mon endroit préféré pour se reposer en ville, ce qui est aussi le cas de beaucoup de Zurichois.
Un autre quartier intéressant est le quartier de Langstrasse, de loin le plus animé de la ville, où il est possible de trouver quantité de restaurants et bars. Cependant c’est le lac de Zurich qui attire bien plus mon regard, immense, il est magnifique et constitue un lieu de baignade de prédilection pour quantité de Zurichois, bien que la Limmat, qui traverse la ville soit littéralement prise d’assaut pendant les journées chaudes de l’été.
Un autre quartier intéressant est le quartier de Langstrasse, de loin le plus animé de la ville, où il est possible de trouver quantité de restaurants et bars. Cependant c’est le lac de Zurich qui attire bien plus mon regard, immense, il est magnifique et constitue un lieu de baignade de prédilection pour quantité de Zurichois, bien que la Limmat, qui traverse la ville soit littéralement prise d’assaut pendant les journées chaudes de l’été.
ETH Zürich
Zürich est la capitale économique du pays, la plus grande ville du pays et la ville la plus chère du monde pour vivre mais Zürich est aussi un pôle universitaire car la ville abrite l'Université de Zürich et l'ETH.
L'ETH Zürich (en allemand Eidgenössische Technische Hochschule Zürich), créée en 1855, est l'une des meilleures Universités au monde. Elle est en générale classée dans le top 5 des Universités Européennes et dans le top 10 des Universités dans le monde.
L'ETH Zürich a vu passer de nombreux prix Nobel sur ses bancs, en tant qu'élèves ou en tant que professeurs. Pêle-mêle, on peut trouver : Vladimir Prelog, Hermann Staudinger, Peter Debye, Fritz Haber ou encore (et surement le plus connu du grand public) Albert Einstein qui a été à la fois étudiant et professeur.
L'ETH Zürich (en allemand Eidgenössische Technische Hochschule Zürich), créée en 1855, est l'une des meilleures Universités au monde. Elle est en générale classée dans le top 5 des Universités Européennes et dans le top 10 des Universités dans le monde.
L'ETH Zürich a vu passer de nombreux prix Nobel sur ses bancs, en tant qu'élèves ou en tant que professeurs. Pêle-mêle, on peut trouver : Vladimir Prelog, Hermann Staudinger, Peter Debye, Fritz Haber ou encore (et surement le plus connu du grand public) Albert Einstein qui a été à la fois étudiant et professeur.
L'Université est divisée en 2 campus, le premier, le campus d'Irchel situé dans le centre ville et le second, le campus d'Hönggerberg, plus récent est situé sur une colline en périphérie de la ville. C'est ce dernier que je présenterai puisque c'est celui que je connais le mieux.
Le campus d'Hönggerberg est construit dans les années 70, il est donc un campus moderne avec des pavillons séparés par des jardins et des espaces de vie agréables. Le bâtiment emblématiques du campus est peut-être le pavillon HCI et ses "five fingers" souvent présentés comme un des bâtiments les plus chers de la ville.
A noter, la circulation en voiture y est interdite, le parking est possible mais cher. Les meilleures solutions demeurent le bus ou le vélo pour se rendre à l'ETH.
Une particularité non négligeable pour moi et l'espace de blocs en libre accès, quand le soleil est présent, beaucoup de monde se retrouve là pour faire de la slack line et du bloc.
Le campus d'Hönggerberg est construit dans les années 70, il est donc un campus moderne avec des pavillons séparés par des jardins et des espaces de vie agréables. Le bâtiment emblématiques du campus est peut-être le pavillon HCI et ses "five fingers" souvent présentés comme un des bâtiments les plus chers de la ville.
A noter, la circulation en voiture y est interdite, le parking est possible mais cher. Les meilleures solutions demeurent le bus ou le vélo pour se rendre à l'ETH.
Une particularité non négligeable pour moi et l'espace de blocs en libre accès, quand le soleil est présent, beaucoup de monde se retrouve là pour faire de la slack line et du bloc.
L'Uetliberg - La montagne des Zürichois
Lors du Sechseläuten (fête du printemps) les corporations zurichoises célèbrent la fin de l'hiver en brûlant le Böögg - un bonhomme de neige symbolique. Cette fête donne droit aux Zürichois un demi jour de congé pour pouvoir participer aux festivités. Ce demi jour de travail est d'ailleurs bien souvent utilisé pour faire du ménage sur son lieu de travail avant l'été qui arrive.
Participer à cette fête ne m'attire que bien peu, la plupart des étrangers que je connais ici m'ont d'ailleurs avoué que l'unique manière de participer et de profiter de la fête est d'être suisse, ce qui n'est pas mon cas.
A la place, avec Amandine nous profitons justement de l'agitation en ville pour fuir vers ses hauteurs. C'est ainsi que nous irons à l'Uetliberg pendant l'après-midi.
Avec le tram 13 nous nous rendons jusqu'au terminus Albisgütli et de là nous entamons une marche vers le sommet, une petite heure est nécessaire pour arriver jusqu'à l'antenne téléphonique qui domine la montagne. La vue sur Zürich n'est pas aussi belle qu'on pourrait le croire, je lui préfère nettement la vue qu'on peut avoir sur le lac et les montagnes.
Vers 19h nous retrouvons le centre ville et nous marchons dans la foule pour assister à la fin de la fête. Nous contournons les cendres du Böögg et trouvons un bar où le serveur sympathique comprend bien vite que nous ne sommes pas germanophone malgré nos tentatives audacieuses de parler dans la langue de Goethe.
Participer à cette fête ne m'attire que bien peu, la plupart des étrangers que je connais ici m'ont d'ailleurs avoué que l'unique manière de participer et de profiter de la fête est d'être suisse, ce qui n'est pas mon cas.
A la place, avec Amandine nous profitons justement de l'agitation en ville pour fuir vers ses hauteurs. C'est ainsi que nous irons à l'Uetliberg pendant l'après-midi.
Avec le tram 13 nous nous rendons jusqu'au terminus Albisgütli et de là nous entamons une marche vers le sommet, une petite heure est nécessaire pour arriver jusqu'à l'antenne téléphonique qui domine la montagne. La vue sur Zürich n'est pas aussi belle qu'on pourrait le croire, je lui préfère nettement la vue qu'on peut avoir sur le lac et les montagnes.
Vers 19h nous retrouvons le centre ville et nous marchons dans la foule pour assister à la fin de la fête. Nous contournons les cendres du Böögg et trouvons un bar où le serveur sympathique comprend bien vite que nous ne sommes pas germanophone malgré nos tentatives audacieuses de parler dans la langue de Goethe.
Rapperswil - La cité des roses
Je visite le château de Rapperswil, je suis assez surpris d’y trouver un musée consacré à la Pologne et non pas un musée médiéval. En effet, à la fin du 18ème siècle, la Pologne est partagée entre la Russie, la Prusse et l’Autriche. La Suisse est alors une terre d’accueil pour de nombreux Polonais en exil dont le Comte Wladyslaw Peter qui a créé à Rapperswil un musée qui ne cessera de gagner en importance jusqu’à nos jours.
Je revisite la ville en été avec Florence, une amie venue de France. Rapperswil est alors occupée par des centaines de touristes et de Zurichois qui viennent profiter des bords du lac agréables de la ville.
Je revisite la ville en été avec Florence, une amie venue de France. Rapperswil est alors occupée par des centaines de touristes et de Zurichois qui viennent profiter des bords du lac agréables de la ville.
Le reste du canton de Zürich et le Nord-Est de la Suisse
Il serait laborieux de présenter un à un l'ensemble des cantons qui constituent le Nord-Est de la Suisse. Cette petite partie de la Suisse est en effet divisée entre le canton de Zürich, le canton de Schaffhausen, le canton de Thurgau, le canton de St Gallen, le canton de Appenzell Ausserrhoden et enfin le canton de Appenzell Innerrhoden. Je propose donc de rassembler ici les lieux que j'ai visités dans l'ensemble de ces cantons.
Les différences géographiques sont nombreuses. Au Nord, on trouvera des collines boisées, des plaines fertiles et des paysages découpés par le bassin versant du Rhin. Au Sud et à l'Est, il est possible de s'aventurer dans les contreforts des Alpes avec des lacs de moyenne montagne.
Les différences géographiques sont nombreuses. Au Nord, on trouvera des collines boisées, des plaines fertiles et des paysages découpés par le bassin versant du Rhin. Au Sud et à l'Est, il est possible de s'aventurer dans les contreforts des Alpes avec des lacs de moyenne montagne.
Winterthur et Kyburg
Cet après-midi, nous nous rendons à Winterthur située à environ 30 minutes de Zürich en voiture. La ville est la sixième plus grande ville Suisse bien que cela ne saute pas aux yeux en la visitant. Certes la rue principale est bondée mais le reste de la ville était calme lors de notre visite.
La ville a un passé industriel important et comme bien souvent en Europe la ville industrielle de Winterthur a dû évoluer et se repenser après les périodes de récessions successives. C’est ainsi que Winterthur est devenue un haut lieu de l’art en Suisse. La ville dispose de nombreux musées, c’est donc une destination idéale pendant une météo capricieuse. De nombreuses galeries d’art et de multiples sculptures dans la rue complètent le tableau.
La ville a un passé industriel important et comme bien souvent en Europe la ville industrielle de Winterthur a dû évoluer et se repenser après les périodes de récessions successives. C’est ainsi que Winterthur est devenue un haut lieu de l’art en Suisse. La ville dispose de nombreux musées, c’est donc une destination idéale pendant une météo capricieuse. De nombreuses galeries d’art et de multiples sculptures dans la rue complètent le tableau.
La vieille ville de Winterthur ne recèle cependant rien d’exceptionnel et nous ne nous y attarderons que 2 heures. Dans les brochures touristiques, le petit village de Kyburg est souvent conseillé. Le château de ce dernier est en effet remarquable. Le village peut être atteint à pied depuis le centre ville de Winterthur mais nous choisirons cependant la voiture puisqu’il se fait tard et que Kyburg est sur la route du retour pour Zürich.
Accrochés à la colline, le village et son château offrent un charme bucolique à l’endroit. La visite du château, relativement onéreuse (7 CHF avec ID étudiant), n’offre quasi aucun point de vue mais a l’avantage de retranscrire la vie de ses occupants du temps des comtes de Kyburg. A noter, des spectacles de son et lumière uniquement en allemand et d’une qualité douteuse… De nombreux chemins pédestres font le tour du bourg ce qui permet de prendre de beaux clichés.
Accrochés à la colline, le village et son château offrent un charme bucolique à l’endroit. La visite du château, relativement onéreuse (7 CHF avec ID étudiant), n’offre quasi aucun point de vue mais a l’avantage de retranscrire la vie de ses occupants du temps des comtes de Kyburg. A noter, des spectacles de son et lumière uniquement en allemand et d’une qualité douteuse… De nombreux chemins pédestres font le tour du bourg ce qui permet de prendre de beaux clichés.
La merveilleuse cité de Schaffhausen
Schaffhausen est située à environ 45 min de voiture au nord de Zürich. Elle est la ville la plus proche des chutes du Rhin. Cependant bien que ces dernières soit l’une des 20 activités les plus touristiques en Suisse, la vieille ville de Schaffhausen ne s’est pas effacée derrière cette merveille de la nature et elle est bien souvent classée dans le top 5 des plus belles villes de Suisse (à raison !). C’est aussi très souvent l’une des premières excursions des nouveaux arrivants à Zürich. Nous passerons la matinée avec Amandine à arpenter cette cité aux faux airs d’Allemagne. De nombreuses ruelles pavées sont bordées de maisons avec des Erkers (balcons vitrés) d’où découle le surnom de Schaffhausen : Erkerstadt.
Après avoir visité l’église de tous les Saints et son cloître, nous arrivons sur les bords du Rhin où par chance nous trouvons un banc en plein soleil et nous profitons de l’endroit paisible pour prendre un thé avant de partir à l’assaut du Munot et des escaliers à travers les vignes.
Depuis la terrasse panoramique (et gratuite) du château, on dispose d’une vue magnifique sur toute la vieille ville. Pour nous deux Schaffhausen est un véritable coup de cœur, et à chaque recoin de la ville dégage un sentiment de bien-être depuis les terrasses au bord du Rhin aux ruelles remplies de tricots.
Depuis la terrasse panoramique (et gratuite) du château, on dispose d’une vue magnifique sur toute la vieille ville. Pour nous deux Schaffhausen est un véritable coup de cœur, et à chaque recoin de la ville dégage un sentiment de bien-être depuis les terrasses au bord du Rhin aux ruelles remplies de tricots.
Les chutes du Rhin
Ceux qui me connaissent ou qui me lisent, savent que je n'apprécie pas les Chutes du Niagara. Je me rends donc aux chutes du Rhin avec une petite appréhension en compagnie d'Amandine depuis le centre-ville de Schaffhausen. Après une petite heure de marche le long du Rhin, le courant commence alors à accélérer. On arrive bientôt en vue du pont qui traverse le Rhin juste avant ses chutes. Sur la gauche se tient une sorte de château qui abrite un musée une chapelle et un restaurant. Nous nous dirigeons par là et nous profitons de cet arrêt providentiel pour manger une Bratwurst. Descendre du côté gauche est payant, cela permet d'atteindre une plateforme au plus près des chutes. Nous ne choisissons pas cette option et repartons de l'autre côté du pont pour descendre à droite du côté gratuit.
Une plateforme au cœur des chutes peut être atteinte au moyen d'une embarcation, je ne vois pas trop l’intérêt, depuis les bords du Rhin on a une vue excellente sur ce phénomène naturel puissant. Bien que plus petite que les chutes du Niagara elles n'en demeurent impressionnantes. Nous restons un moment là à contempler ces tonnes d'eau qui proviennent du lac de Konstanz et qui se dirigent vers la mer du Nord. Le soleil descend peu à peu sur l'horizon nous donnant une chaleur agréable accompagné de l'odeur si caractéristique d'un cours d'eau. Vers 18h, nous nous dirigeons de nouveau vers Schaffhausen, prochaine étape : Steim am Rhein.
La ville de Steim am Rhein
Ville touristique réputée en Suisse, Steim am Rhein disposerait de la plus belle place centrale du pays. Nous arrivons vers 18h dans ce village et trouvons assez facilement à nous garer. Il est facile sinon de se rendre à Steim am Rhein en train ou en bateau depuis Schaffhausen.
La place centrale est fidèle à sa réputation, à cette heure-ci le village est quasi désert de ses touristes et j’ai vraiment l’impression que le petit trésor de Steim am Rhein s’offre à moi. Les façades de la place centrale sont toutes richement décorées et avec la lumière de fin de journée c’est un ravissement pour les yeux. Nous assistons au coucher de soleil assis sur les côtés du Rhin, un musicien joue de grands classiques, la lumière de fin de journée nous fait du bien malgré l’air un peu frais. J’aime ce genre de moment simple de la vie.
La place centrale est fidèle à sa réputation, à cette heure-ci le village est quasi désert de ses touristes et j’ai vraiment l’impression que le petit trésor de Steim am Rhein s’offre à moi. Les façades de la place centrale sont toutes richement décorées et avec la lumière de fin de journée c’est un ravissement pour les yeux. Nous assistons au coucher de soleil assis sur les côtés du Rhin, un musicien joue de grands classiques, la lumière de fin de journée nous fait du bien malgré l’air un peu frais. J’aime ce genre de moment simple de la vie.
Le lac de Konstanz (ou de Constance)
Le Lac de Konstanz (Bodensee en allemand) mérite bien que l'on s'attarde un peu. Situé au cœur de l'Europe, il marque une frontière naturelle entre trois pays que sont l'Allemagne, la Suisse et l'Autriche.
Les chiffres font tourner la tête, il couvre une superficie de 536 km² et on peut y trouver trois îles. Il est principalement alimenté par les eaux du Rhin.
Fort heureusement, il n'y a pas que les chiffres qui font tourner la tête, le lac est tout simplement magnifique, de nombreuses villes où il est bon de faire des étapes touristiques jalonnent la route qui fait le tour du lac.
Nous ferons le tour avec Amandine l'espace d'une journée en voiture, il est présomptueux de vouloir tout voir en un jour, j'ai largement sous-estimé le temps nécessaire pour graviter autour du lac.
Les chiffres font tourner la tête, il couvre une superficie de 536 km² et on peut y trouver trois îles. Il est principalement alimenté par les eaux du Rhin.
Fort heureusement, il n'y a pas que les chiffres qui font tourner la tête, le lac est tout simplement magnifique, de nombreuses villes où il est bon de faire des étapes touristiques jalonnent la route qui fait le tour du lac.
Nous ferons le tour avec Amandine l'espace d'une journée en voiture, il est présomptueux de vouloir tout voir en un jour, j'ai largement sous-estimé le temps nécessaire pour graviter autour du lac.
La ville de Konstanz
L'année 2015 marque ma deuxième visite de Konstanz, j'avais déjà visité la ville en été 2010 l'espace d'un week-end. C'est avec un certain plaisir que j'explore des parties que je n'avais pas vues en 2010. Je suis peu satisfait des photos que j'ai réalisé en 2015, je ferai donc un mélange entre mes deux visites, sachant que la ville n'a pas eu le temps de beaucoup changer.
Nous arrivons vers midi à Konstanz après une courte pause à Kreuzlingen en territoire Suisse. Il y a peu de choses à voir dans cette dernière ville, aussi, il vaut mieux passer son chemin.
Nous arrivons vers midi à Konstanz après une courte pause à Kreuzlingen en territoire Suisse. Il y a peu de choses à voir dans cette dernière ville, aussi, il vaut mieux passer son chemin.
Après avoir garé la voiture dans un parking souterrain, nous partons à l’exploration de la vieille ville de Konstanz sans idée en tête, après être passé devant le bar « wunderbar » (Ah ces allemands et leur sens de l’humour) nous suivons les bords du lac avant de nous enfoncer dans la ville.
Nous passons devant la statue tournante marquant l’entrée du port. Peu de chose à dire si ce n’est que la ville est aussi belle que dans mes souvenirs. Je n’avais pas visité la Münster Unserer Lieben Frau (La cathédrale de Konstanz) lors de ma première visite, je rattrape ici ce regrettable oubli étant donné qu’à elle seule la cathédrale peut valoir une visite de la ville de Konstanz.
La ville est paisible et ensoleillée en ce dimanche, les terrasses de café et les parcs sont remplis de badauds prenant le temps d’un verre ou d’un pique-nique entre amis.
Après environ 2 heures, nous continuons notre périple : cap vers Meersburg.
Nous passons devant la statue tournante marquant l’entrée du port. Peu de chose à dire si ce n’est que la ville est aussi belle que dans mes souvenirs. Je n’avais pas visité la Münster Unserer Lieben Frau (La cathédrale de Konstanz) lors de ma première visite, je rattrape ici ce regrettable oubli étant donné qu’à elle seule la cathédrale peut valoir une visite de la ville de Konstanz.
La ville est paisible et ensoleillée en ce dimanche, les terrasses de café et les parcs sont remplis de badauds prenant le temps d’un verre ou d’un pique-nique entre amis.
Après environ 2 heures, nous continuons notre périple : cap vers Meersburg.
L'île de Mainau, l'île aux fleurs
Petite digression dans notre voyage d'un jour, nous n'avons pas visité la presque-île de Mainau mais je l'ai visitée avec des amis en Août 2010. Cela m'a fait plaisir de me replonger dans mes archives photographiques pour écrire ce petit article
Le doux climat du lac de Constance est très propice au développement de palmiers et d'autres plantes méditerranéennes. On trouve donc de nombreuses plantes tropicales dans le parc du château et dans les jardins de l'île.
Pour résumer l'île est un gigantesque jardin à ciel ouvert où de nombreux endroits sont propices à la détente. Il ne faut pas rater sous aucun prétexte la serre aux papillons.
Le doux climat du lac de Constance est très propice au développement de palmiers et d'autres plantes méditerranéennes. On trouve donc de nombreuses plantes tropicales dans le parc du château et dans les jardins de l'île.
Pour résumer l'île est un gigantesque jardin à ciel ouvert où de nombreux endroits sont propices à la détente. Il ne faut pas rater sous aucun prétexte la serre aux papillons.
La ville de Meersburg
Pour une dizaine d’euros (voiture + deux personnes), nous traversons le lac de Constance en 15 minutes et nous arrivons à Meersburg. Ce petit village viticole flanqué d’un château et de ruelles pavées est un délice pour les yeux. Les nombreuses terrasses de restaurants sont bondées en ce début d’après-midi et nombreux sont les allemands avec une pinte de bière à la main. Le seul problème de ce discret village est que sa réputation le précède, se garer en voiture est donc un véritable purgatoire. La ville a pallié à ce problème en établissant des parkings (trop ?) loin du centre ville. Il faut donc savoir qu’il faut s’armer de patience à la descente du bateau pour visiter cet endroit.
L’espace d’environ 2 heures, nous marchons un peu au hasard dans les nombreuses ruelles du village. Tantôt au bord de l’eau, tantôt sur les hauteurs, la vue est toujours magnifique et c’est un véritable coup de cœur.
Le château de la ville abrite un musée que nous ne visiterons pas, comme à mon habitude la visite d’un musée m’est insupportable quand le soleil est radieux. A la place nous profitons des bords du lac et marchons vers une statue située au port qui me fait sourire à cause de son goût étrange. Surmontée d’une créature ailée à tête humaine, la sculpture présente des personnages biscornus dont l’un à de petits démons qui sortent de ses fesses.
Le château de la ville abrite un musée que nous ne visiterons pas, comme à mon habitude la visite d’un musée m’est insupportable quand le soleil est radieux. A la place nous profitons des bords du lac et marchons vers une statue située au port qui me fait sourire à cause de son goût étrange. Surmontée d’une créature ailée à tête humaine, la sculpture présente des personnages biscornus dont l’un à de petits démons qui sortent de ses fesses.
La ville de Lindau
L’étape suivante de la route est la grande ville de Friedrichshafen, ville où eut lieu le premier vol d’un dirigeable Zeppelin en 1900. Le musée de la ville est connu et est souvent conseillé dans les brochures touristiques mais nous ne le visiterons pas.
En arrivant dans la ville, nous avons un peu de retard sur notre planning déjà chargé et n’avons pas de coup de cœur. D’un commun accord nous poursuivons notre route vers Lindau, une ville située sur une presque-île.
Cette ville est présentée à raison comme un incontournable des lieux à visiter autour du lac.
En arrivant dans la ville, nous avons un peu de retard sur notre planning déjà chargé et n’avons pas de coup de cœur. D’un commun accord nous poursuivons notre route vers Lindau, une ville située sur une presque-île.
Cette ville est présentée à raison comme un incontournable des lieux à visiter autour du lac.
Vers 17h nous traversons le pont à pied et arrivons dans la magnifique cité de Lindau. Nous passons un peu de temps à observer le symbole de la ville, son port gardé par un phare et un lion de Bavière. Après un bref tour de la ville (il faut dire que la partie touristique n’est pas bien grande), nous dégustons une pizza dans un restaurant où à la fin du repas le serveur se montre bien trop insistant et désagréable pour avoir son pourboire, pourboire qu’il aurait eu normalement car je suis au fait de cette subtilité allemande et qu’il n’aura donc pas. Nous rentrons à Zürich le soir même en traversant rapidement Bregenz en Autriche. Traverser trois pays en une journée en tournant autour d’un lac est assez grisant.
Les régions de St Gallen et de Appenzell
L’espace d’un week-end, nous parcourrons une partie des cantons de St Gallen (Saint Gall en Français) et d’Appenzell. Le paysage est très changeant en cet endroit de la Suisse puisqu'il est possible de passer d’une région de lac à une région montagneuse en moins d’une heure de route.
St Gallen est la huitième plus grande ville en Suisse mais demeure une petite cité située dans une cuvette. La ville ne présente pas d’intérêt particulier à part le merveilleux site de la cathédrale que l’on verra ci-après.
Appenzell quant à lui est un petit village paisible de montagne occupé en haute saison par des hordes de randonneurs. Il s’agit d’une base arrière idéale pour parcourir la région à l’instar de Chamonix en France. La ville est aussi connue pour sa gastronomie, le fromage et la bière (la Appenzeller) produits dans la région.
La région compte beaucoup d’hôtels et assez bizarrement bien trop peu de campings. Nous trouvons malgré tout à nous loger au camping Eischen très bien situé.
St Gallen est la huitième plus grande ville en Suisse mais demeure une petite cité située dans une cuvette. La ville ne présente pas d’intérêt particulier à part le merveilleux site de la cathédrale que l’on verra ci-après.
Appenzell quant à lui est un petit village paisible de montagne occupé en haute saison par des hordes de randonneurs. Il s’agit d’une base arrière idéale pour parcourir la région à l’instar de Chamonix en France. La ville est aussi connue pour sa gastronomie, le fromage et la bière (la Appenzeller) produits dans la région.
La région compte beaucoup d’hôtels et assez bizarrement bien trop peu de campings. Nous trouvons malgré tout à nous loger au camping Eischen très bien situé.
Arbon et St Gallen
Nous arrivons à Arbon sur les rives du lac de Konstanz vers 11h du matin. Nous nous baladons dans le minuscule mais non moins charmant centre historique, c’est aussi l’occasion pour moi d’exercer mes talents de grimpeur en transformant le mur d’enceinte du château en un fantastique bloc.
Les rives sont bien aménagées et il est agréable d’y marcher. En été, un cinéma en plein air est installé là, le spectacle doit être intéressant une fois la nuit tombée.
Même si la ballade est sympa, il faut bien l’avouer, Arbon n’est pas un indispensable d’un voyage en Suisse.
Les rives sont bien aménagées et il est agréable d’y marcher. En été, un cinéma en plein air est installé là, le spectacle doit être intéressant une fois la nuit tombée.
Même si la ballade est sympa, il faut bien l’avouer, Arbon n’est pas un indispensable d’un voyage en Suisse.
Nous prenons la route pour St Gallen située dans le canton du même nom, nous nous garons au parking de la mairie avant de nous aventurer dans la ville surchauffée en ce début d’été. Plusieurs choses sont remarquables dans cette ville qui ne se livre pas tout de suite au voyageur. Ma première impression a d’abord été assez négative avant de tomber sur la place rouge, une magnifique place unique en son genre où le sol est entièrement recouvert d’une texture rappelant un stade d’athlétisme. Mais cela n’est rien en comparaison avec la place centrale où se tiennent la cathédrale et la bibliothèque. L’ensemble de bâtiments est classé à l’UNESCO.
Nous visitons la cathédrale en premier, difficile de la décrire fidèlement, l’intérieur munificent, la hauteur sous voûte grandiose, les peintures fastueuses, c’est de très loin la plus belle cathédrale que j’ai vue de ma vie. Amandine qui a été à Rome et a vu de ses yeux la Chapelle Sixtine, me confie que la beauté de l’endroit, sa grandeur et son exclusivité en font un lieu bien plus remarquable. Une cérémonie de mariage avec une chanteuse ajoute à la sérénité de l’endroit.
La bibliothèque, que l’on visite en charentaises, est quant à elle bien moins impressionnante, les photos y sont interdites ce qui a plusieurs avantages. Le premier est que cela n’endommagera pas les œuvres littéraires présentées (dont certaines ont 1000 ans), le second est aussi de pouvoir cacher que la bibliothèque est en fait minuscule, les photos en contre plongée que l’on peut trouver facilement donnent une mauvaise impression de la taille.
Appenzell
Appenzell est une agréable petite cité de montagne où est brassée la fameuse bière Appenzeller. Nous déambulons dans la ville en cette fin d’après-midi et trouvons un plan des sentiers de randonnée pour le lendemain.
La ville est mignonne mais il n’y a pas grand-chose à faire, c’est juste une excellente base pour découvrir la région et le massif du Säntis. Nous nous dirigeons ensuite vers notre camping pour la nuit où trouver un terrain plat pour poser la tente relève de l'impossible.
La ville est mignonne mais il n’y a pas grand-chose à faire, c’est juste une excellente base pour découvrir la région et le massif du Säntis. Nous nous dirigeons ensuite vers notre camping pour la nuit où trouver un terrain plat pour poser la tente relève de l'impossible.
Ce dimanche, nous optons pour un sentier en boucle que j’estime à environ 14km. On part de Wasserauen et rejoignons l’Ebenalp et le Wildkirchli en téléphérique. Au départ, une immense grotte se visite également. La vue est déjà magnifique. Nous rejoignons ensuite le Berggasthaus Schäfler au prix d’une montée pas si facile pour ensuite nous diriger vers le Berggasthaus Mesmer et finir la boucle en rentrant via le magnifique Seealpsee où je me baignerai seul à cause de la température un peu froide de l’eau. Nous rentrons ensuite à pied. La randonnée était magnifique et ne m’encourage qu’à revenir pour me frotter au Säntis. A cause d’un genou douloureux, Amandine a eu quelques difficultés à me suivre, il faut dire que la randonnée est loin d’être aussi facile que je le pensais.
Les activités de plein air
Comptant plus de 60 000 km de sentiers de randonnée, la Suisse est un paradis pour les activités en plein air. On ne compte plus les montagnes et le nombre important de sommets mythiques dans le pays : Eiger, Cervin, Jungfrau. On ne compte plus aussi les noms de stations présents dans l'inconscient collectif : Zermatt, Davos ou encore St Moritz.
Dans le canton de Zürich, il y a de nombreuses possibilités de randonnées, vers le nord on trouvera des plaines fertiles et des collines boisées, au Sud le lac de Zürich et les premiers contreforts des Hautes Alpes.
Dans le canton de Zürich, il y a de nombreuses possibilités de randonnées, vers le nord on trouvera des plaines fertiles et des collines boisées, au Sud le lac de Zürich et les premiers contreforts des Hautes Alpes.
Le belvédère du Bachtel
Le Bachtel (1115 m) se situe au sud-ouest de Zürich dans les environs de Rapperswill.
Je me rends dans le village de Wald en voiture, je trouve à me garer sur le parking de la gare de Wald, j'ai prévu de prendre le train à Steg pour rentrer.
Je monte en environ 1 heure vers le Bachtel où siège une antenne téléphonique. Nous sommes à la fin du printemps et il y a encore de la neige sur les sommets ce qui me surprend un peu étant donné la hauteur toute relative du Bachtel. La vue sur le lac de Zürich est excellente. Une fois là, le chemin s'étire vers Steg à travers des paysages alpins magnifiques.
J'arrive vers Steg vers 16h et retourne en quelques minutes à Wald en train. Je profite d'une fin d'après-midi avec une météo mitigée pour me rendre à Rapperswill, la cité des roses.
Je me rends dans le village de Wald en voiture, je trouve à me garer sur le parking de la gare de Wald, j'ai prévu de prendre le train à Steg pour rentrer.
Je monte en environ 1 heure vers le Bachtel où siège une antenne téléphonique. Nous sommes à la fin du printemps et il y a encore de la neige sur les sommets ce qui me surprend un peu étant donné la hauteur toute relative du Bachtel. La vue sur le lac de Zürich est excellente. Une fois là, le chemin s'étire vers Steg à travers des paysages alpins magnifiques.
J'arrive vers Steg vers 16h et retourne en quelques minutes à Wald en train. Je profite d'une fin d'après-midi avec une météo mitigée pour me rendre à Rapperswill, la cité des roses.
Randonnée Zoo et Golf de Zürich
Voici une randonnée assez connue de la part des Zürichois. L’idée est simple, il suffit de prendre le tram pour atteindre Forch et son monument bien connu pour ensuite revenir à pied à travers bois vers la station de tram Milchbuck.
Je m’y rends un matin de fin de printemps par une météo nuageuse. Les points de vue intéressants sont au début de la randonnée, on retourne peu à peu vers la civilisation au plus on monte vers le Nord. On traverse le golf de Zürich et on passe à proximité de son zoo avant d’arriver à la statue d’éléphant très connue.
Il faut noter un passage assez cocasse car le sentier passe à proximité du Sorell Hôtel Zürichberg, luxueux s'il en est. Je visite donc la terrasse qui dispose d’une vue intéressante sur le lac de Zürich avec ma tenue de randonneur crottée. Dans l’ensemble, ce n’est pas une randonnée que je conseille même si elle facile à faire et facile à organiser. Les points de vue sont peu nombreux et on n’a que bien trop rarement l’impression d’être dans une nature loin de la ville.
Je m’y rends un matin de fin de printemps par une météo nuageuse. Les points de vue intéressants sont au début de la randonnée, on retourne peu à peu vers la civilisation au plus on monte vers le Nord. On traverse le golf de Zürich et on passe à proximité de son zoo avant d’arriver à la statue d’éléphant très connue.
Il faut noter un passage assez cocasse car le sentier passe à proximité du Sorell Hôtel Zürichberg, luxueux s'il en est. Je visite donc la terrasse qui dispose d’une vue intéressante sur le lac de Zürich avec ma tenue de randonneur crottée. Dans l’ensemble, ce n’est pas une randonnée que je conseille même si elle facile à faire et facile à organiser. Les points de vue sont peu nombreux et on n’a que bien trop rarement l’impression d’être dans une nature loin de la ville.
Randonnée autour du lac de Pfäffikon
Dimanche, il fait beau c’est le début de l’été, je suis fatigué mais je souhaite prendre l’air et profiter du bonheur simple de marcher au soleil.
Je me rends à Pfäffikon pour faire le tour de son petit lac, une randonnée facile de 10 km accessible à tous. Je m’y rends en voiture mais il est simple de se rendre dans cette ville en train. La première chose à visiter est le fort Romain, relique de l’époque romaine, il offre une jolie vue depuis le haut de ses petites murailles où je prends un thé et contemple simplement le lac en contrebas. Je marche ensuite vers Seegräben, un petit village situé sur une colline, c’est un véritable coup de cœur. Le village, charmant, dispose en plus d’une ferme où se rassemblent des dizaines de personnes pour déjeuner ou prendre une boisson au milieu des arbres fruitiers. Un bonheur simple mais tellement bon. Je termine cette randonnée facile en retournant à Pfäffikon.
Je me rends à Pfäffikon pour faire le tour de son petit lac, une randonnée facile de 10 km accessible à tous. Je m’y rends en voiture mais il est simple de se rendre dans cette ville en train. La première chose à visiter est le fort Romain, relique de l’époque romaine, il offre une jolie vue depuis le haut de ses petites murailles où je prends un thé et contemple simplement le lac en contrebas. Je marche ensuite vers Seegräben, un petit village situé sur une colline, c’est un véritable coup de cœur. Le village, charmant, dispose en plus d’une ferme où se rassemblent des dizaines de personnes pour déjeuner ou prendre une boisson au milieu des arbres fruitiers. Un bonheur simple mais tellement bon. Je termine cette randonnée facile en retournant à Pfäffikon.
Randonnée à Eglisau
La petite ville d’Eglisau est située à environ 30min au Nord de Zürich. Le parking, comme d’habitude en Suisse, n’est pas facile et comme bien souvent je me gare au parking de la gare qui, par chance, est gratuit le week-end.
Le village est bordé du Rhin et il est même possible de s’y baigner, je m’en garderai bien car nous ne sommes que mi-mai. La ballade qui trace une boucle d’une dizaine de kilomètres commence à travers le centre ville pour rejoindre Buchberg à travers champs de céréales et les nombreuses vignes pour enfin revenir à Eglisau.
La ballade est sympathique et facile, le jour de mon passage à Eglisau, le bourg était bien animé entre le marché et un mariage, ce qui donne un aperçu plus agréable encore à la ville.
Le village est bordé du Rhin et il est même possible de s’y baigner, je m’en garderai bien car nous ne sommes que mi-mai. La ballade qui trace une boucle d’une dizaine de kilomètres commence à travers le centre ville pour rejoindre Buchberg à travers champs de céréales et les nombreuses vignes pour enfin revenir à Eglisau.
La ballade est sympathique et facile, le jour de mon passage à Eglisau, le bourg était bien animé entre le marché et un mariage, ce qui donne un aperçu plus agréable encore à la ville.
Randonnée sur le Lägern
En voilà une randonnée facile d'accès en transport en commun et qui mélange vieilles villes et beaux points de vue. Je me rends à Oerlikon à Zürich pour prendre le train de banlieue S5. En une vingtaine de minutes je suis à Dielsdorf et je prends la direction de Regensberg. On atteint vite ce petit joyau dominé par une tour moyenâgeuse, y monter coûte 1Fr mais je n’irai pas, je juge la vue assez bonne depuis la terrasse.
Je prends ensuite la direction de Baden sur un chemin de crête parfois très exposé (un panneau déconseille même une section aux personnes souffrant de vertige). Au bout de quelques heures on arrive à Baden, je suis assez surpris car je ne m’attendais pas à une aussi jolie ville. Outre le centre ville historique, il y a aussi un petit château en ruine d’où un point de vue intéressant sur la ville et le Limmat est possible.
Je prends ensuite la direction de Baden sur un chemin de crête parfois très exposé (un panneau déconseille même une section aux personnes souffrant de vertige). Au bout de quelques heures on arrive à Baden, je suis assez surpris car je ne m’attendais pas à une aussi jolie ville. Outre le centre ville historique, il y a aussi un petit château en ruine d’où un point de vue intéressant sur la ville et le Limmat est possible.
Randonnée à Innerthal
Belle journée de fin de printemps, je décide de me diriger vers Innerthal pour une randonnée difficile en moyenne montagne avec une étape normalement réservée aux alpinistes.
J'arrive à Innerthal et dès le début je sais que c'est un endroit où je reviendrai souvent pratiquer la randonnée. L'endroit est magnifique. Le programme du jour est simple, prendre un maximum de plaisir. Je monte en direction du Schwarzenegg, pour ensuite monter vers le Bockmattli. Cette dernière est une succession de nombreux lacets entre deux parois rocheuses, grisant. Je souhaite ensuite poursuivre vers le Schiberg mais le sentier est encore enneigé et est formellement déconseillé dans ces conditions. Je croise des randonneurs qui fond demi-tour devant l'obstacle. je continue malgré tout mais je fais demi-tour également 1km plus loin. Je suis convaincue qu'il est possible de passer mais seul et sans équipement c'est trop dangereux. Je redescends donc par le même chemin. La randonnée est magnifique, alpine et parfois aérienne. Un bonheur.
J'arrive à Innerthal et dès le début je sais que c'est un endroit où je reviendrai souvent pratiquer la randonnée. L'endroit est magnifique. Le programme du jour est simple, prendre un maximum de plaisir. Je monte en direction du Schwarzenegg, pour ensuite monter vers le Bockmattli. Cette dernière est une succession de nombreux lacets entre deux parois rocheuses, grisant. Je souhaite ensuite poursuivre vers le Schiberg mais le sentier est encore enneigé et est formellement déconseillé dans ces conditions. Je croise des randonneurs qui fond demi-tour devant l'obstacle. je continue malgré tout mais je fais demi-tour également 1km plus loin. Je suis convaincue qu'il est possible de passer mais seul et sans équipement c'est trop dangereux. Je redescends donc par le même chemin. La randonnée est magnifique, alpine et parfois aérienne. Un bonheur.
Randonnée à Bremgarten
Bremgarten est un bourg situé à quelques encablures de Zürich. Cela fait quelques semaines maintenant qu’il fait beau la semaine et pluvieux le week-end. Je ne tiens plus, le jeu de la journée sera de rester sec en trouvant un abri à chaque averse. C’est peut être con mais on s’amuse comme on peut.
La ballade commence donc à Bremgarten, je ne m’attendais pas à un si beau petit village, la visite à elle seule vaut le détour. L’orientation est simple, on marche vers Rottenschwill, on change de rive et on revient. Après quelques averses qui n’arrivent pas à me mouiller outre mesure, le soleil parvient à se frayer un chemin et réchauffe les âmes. J’ai gagné mon pari, je reviens sec à Bremgarten après environ 3 heures de marche pendant lesquelles j’ai vraiment pris mon temps.
La ballade commence donc à Bremgarten, je ne m’attendais pas à un si beau petit village, la visite à elle seule vaut le détour. L’orientation est simple, on marche vers Rottenschwill, on change de rive et on revient. Après quelques averses qui n’arrivent pas à me mouiller outre mesure, le soleil parvient à se frayer un chemin et réchauffe les âmes. J’ai gagné mon pari, je reviens sec à Bremgarten après environ 3 heures de marche pendant lesquelles j’ai vraiment pris mon temps.
Randonnée de l'Uetliberg
Deuxième visite pour moi sur cette montagne des Zurichois (cf plus haut la section sur Zürich). Je ne commence la marche que vers 13h car la météo du matin était instable. Le début de la randonnée commence au terminus de la ligne de tram 14. Je monte rapidement vers le sommet et je croise de nombreuses personnes qui descendent avec un équipement très rudimentaire…ah les joies des randonnées touristiques. Je fuis l’agitation du sommet où les touristes ne jurent que par de nombreux selfies. Le plaisir commence à partir de là, un chemin de crête s’étire sur 20km. Facile, le chemin est idéal pour une ballade sportive. Les vues sur Zürich et son lac sont encore meilleures à la fin : une tour de guet est accessible dans le Wildnispark.
La fin de la randonnée est synonyme de l’arrivée en gare de Sihlbrugg afin de prendre le train pour la gare centrale de Zürich.
Je retiendrai surtout la vue juste avant de descendre vers la gare de Sihlbrugg, en effet la vue porte du lac de Zürich à gauche jusqu’au lac de Zug à droite de la crête. Je maudis mon appareil photo incapable de faire un panoramique.
La fin de la randonnée est synonyme de l’arrivée en gare de Sihlbrugg afin de prendre le train pour la gare centrale de Zürich.
Je retiendrai surtout la vue juste avant de descendre vers la gare de Sihlbrugg, en effet la vue porte du lac de Zürich à gauche jusqu’au lac de Zug à droite de la crête. Je maudis mon appareil photo incapable de faire un panoramique.
Randonnée du Chöpfenberg
Voici une randonnée difficile et parfois engagée. On part de Niederurnen qui possède un petit téléphérique. Je prends un aller simple (10 CHF) et me dirige ensuite vers le petit bourg de Mettmen depuis lequel les choses sérieuses commencent.
Une montée en lacets mène rapidement à la ligne de crête occupée par des vaches qui ne doivent pas voir grand monde. Mon livre de randonnée indique qu’un chemin permet de rejoindre le Chöpfenberg mais aucune indication n’est présente. Une ébauche de chemin est bien tracé dans les hautes herbes mais au bout d’une grimpe assez facile mais tout de même engagée, je décide de faire demi-tour car cela ne devient plus raisonnable. Je peste sur les éditeurs de ce livre, revenir sur ses pas est l’une des choses les plus pénibles pour un randonneur.
Je rejoins néanmoins un autre sommet (avec une vue imprenable sur le Walensee) dont j’ai oublié le nom occupé par une croix posée là en 1986. Sous cette dernière se cache une petite cache avec un cahier où de nombreux randonneurs ont annoté différentes choses depuis plus de 10 ans.
Une montée en lacets mène rapidement à la ligne de crête occupée par des vaches qui ne doivent pas voir grand monde. Mon livre de randonnée indique qu’un chemin permet de rejoindre le Chöpfenberg mais aucune indication n’est présente. Une ébauche de chemin est bien tracé dans les hautes herbes mais au bout d’une grimpe assez facile mais tout de même engagée, je décide de faire demi-tour car cela ne devient plus raisonnable. Je peste sur les éditeurs de ce livre, revenir sur ses pas est l’une des choses les plus pénibles pour un randonneur.
Je rejoins néanmoins un autre sommet (avec une vue imprenable sur le Walensee) dont j’ai oublié le nom occupé par une croix posée là en 1986. Sous cette dernière se cache une petite cache avec un cahier où de nombreux randonneurs ont annoté différentes choses depuis plus de 10 ans.
Randonnée à Baar et visite des Höllgrotten
Dimanche de début d'automne, mon genou me fait toujours souffrir mais je décide tout de même de faire une petite ballade à Baar et saisir l'opportunité de visiter les Höllgrotten. Daniel m'accompagnera pour cette marche d'environ 13km avec presque aucun dénivelé.
La voiture garée à Baar, nous partons à travers la ville vers les grottes que nous atteignons environ 1h plus tard après avoir marché à travers forêt. La visite (11 CHF avec ID étudiant) est relativement courte, une vingtaine de minutes mais les effets lumineux sont très jolis. La fin de la ballade consiste à finir une petite boucle pour rentrer à Baar à travers champs.
Une ballade rafraichissante par une météo un peu nuageuse, l'idéal pour reprendre un peu d'énergie pour le travail le lendemain.
La voiture garée à Baar, nous partons à travers la ville vers les grottes que nous atteignons environ 1h plus tard après avoir marché à travers forêt. La visite (11 CHF avec ID étudiant) est relativement courte, une vingtaine de minutes mais les effets lumineux sont très jolis. La fin de la ballade consiste à finir une petite boucle pour rentrer à Baar à travers champs.
Une ballade rafraichissante par une météo un peu nuageuse, l'idéal pour reprendre un peu d'énergie pour le travail le lendemain.
Retour à Innerthal, randonnée sur le Fluebrig
Deuxième visite pour moi à Innerthal. J’adore cet endroit et les possibilités de randonnées y sont nombreuses. Mon terrain de jeu aujourd’hui sera le Fluebrig au beau milieu de l’automne. Je gare ma voiture à côté du barrage et longe le lac jusqu’à Au. De là, une montée assez raide mène jusqu’à une crête bien exposée au soleil d’où la vue porte jusqu’au Rigi ou encore jusqu’au Grosser Mythen. Vers 16h il n’y a plus que moi et c’est alors que je termine l’ascension. Mieux vaut avoir le pied sur ici car c’est de la quasi escalade qui permet d’atteindre le sommet. Des chaines permettent de se tenir à la paroi mais rien ne permet de prévenir une éventuelle chute, une attention de tous les instants est donc de mise. Le fruit de ces efforts est une fantastique vue qui porte jusqu’à Zürich.
Avec le soleil couchant au loin, c’est l’une des plus belles images de la Suisse que je garderai. Je redescends doucement et termine la randonnée à la frontale. Le silence est quasi-total seul mes pas et les quelques pierres qui roulent sur mon passage font du bruit qui résonne contre les à-pics.
Avec le soleil couchant au loin, c’est l’une des plus belles images de la Suisse que je garderai. Je redescends doucement et termine la randonnée à la frontale. Le silence est quasi-total seul mes pas et les quelques pierres qui roulent sur mon passage font du bruit qui résonne contre les à-pics.
Randonnée dans le Jurapark, balade à Wölflinswil
Petite balade automnale avec Daniel, la destination du jour sera une randonnée circulaire de 8 km (oui, petite balade) dans le Jurapark. A partir de Wölflinswil, le chemin mène sur une crête et redescends ensuite sur Oberhof pour rejoindre la ville de départ.
Nous profitons d’être dans la région pour nous rendre à Aarau en fin de journée et visiter cette petite ville pleine de charme.
Nous profitons d’être dans la région pour nous rendre à Aarau en fin de journée et visiter cette petite ville pleine de charme.
Grand tour du Mattstock
Je pars de Amden avec pour but de gravir le Speer (1950m), après une montée assez rapide jusqu’au restaurant Holzstübli, je contourne le Mattstock par la droite pour rejoindre Hinter Höhi. Là, je me rends compte qu’il y a bien plus de neige que je le pensais et je n’ai pris ni mes guêtres, ni mes raquettes, je m’engage tout de même vers le Speer. A l’Alp Oberchäseren, étant donné mon manque d’équipement pour cette fois, je change de plan et me contente de faire le tour du Mattstock. Je rejoins mon point de départ en hors piste puisque la couche de neige est tellement épaisse que je ne trouve plus les marques du chemin.
La randonnée était magnifique et j’ai pu profiter d’une couche de neige intacte puisque personne ne m’a précédé. Un plaisir unique.
La randonnée était magnifique et j’ai pu profiter d’une couche de neige intacte puisque personne ne m’a précédé. Un plaisir unique.
L'ascension du Mattstock
Trois semaines après mon tour du Mattstock, nous allons en compagnie d’Amandine en faire l’ascension. Nous faisons la première partie en télésiège pour nous économiser un peu, de plus nous attaquons l’ascension trop tard, le télésiège nous fera économiser de précieuses minutes à défaut d’économiser de l’argent (9CHF/personne).
L’ascension est relativement abordable et nous mettons environ 2 heures pour atteindre le sommet depuis lequel nous faisons de magnifiques clichés.
Nous nous attarderons peu de temps, une masse nuageuse approche et le vent se renforce. Nous sommes de retour à Amden, après une descente pénible, à la tombée de la nuit.
L’ascension est relativement abordable et nous mettons environ 2 heures pour atteindre le sommet depuis lequel nous faisons de magnifiques clichés.
Nous nous attarderons peu de temps, une masse nuageuse approche et le vent se renforce. Nous sommes de retour à Amden, après une descente pénible, à la tombée de la nuit.